Eléments de réflexion

Concours culinaire pousse-rapière :

- Rythme mensuel ? Calendrier proposé : les samedis 12 déc, 13 fév, 13 mars, 10 avril et 8 mai pour la clôture. A 18h, en lieu et place des déambulations habituelles.
- Problème logistique : les plats chauds et/ou à préparer au dernier moment. Limiter le concours au plats froids, sucrés, déserts, entrées ? Difficile d'imaginer l'installation d'une cuisinère dans la boutique du château. Réchauffer les plats qui doivent l'être au micro-onde ? Une insulte à la gastronomie gasconne !
- Le jury : des sommités de la gasconomie ? Des "chefs" voudront-ils se mobiliser le samedi à 18 H ?? Peut-être un jury populaire ? Ou sur inscription (gratuite).
- Communication autours de ces rencontres "Gastronomie et Pousse-Rapière" : presse, présentation au cours du vernissage du 21 novembre, ce blog, sur les sites de Monluc, radios locales ?
- Que gagne le ou les gagnants ? Coffrets PR, photo PPF, ou la révélation de tout les secrets de la liqueur pousse-rapière par NL ?
- Une ou plusieurs photos à caractère culinaire / viticole (plats, grappes, vignes, bouteilles, bulles ...) présentées lors de ces rencontres.
- Sélection des recettes gagnantes pour un fascicule édité et distribué à partir du mois de mai. Cela implique donc que les participants ne gardent pas leurs recettes secrètes mais nous les communiquent, et que le règlement du concours (acr ce faisant il en faudra bien un) stipule l'éventualité d'une publication papier et internet des dites recettes, avec mention de l'auteur (par ex. "Meringue de morue au Pousse-Rapière d'Antonin Puech").
- Pour le fascicule, le cas échéant : une douzaine de pages (une dizaine de couple de recettes gagnantes + intro et conclusion). Photos de plats prises sur le vif lors des concours ou faite en studio. Fascicule distribué gratuitement ? Offert à partir d'un certain montant d'achats ? Ou bien à un petit prix ?
- Question éthique : à partir de quand peut-on prétendre qu'une recette est spécifiquement au PR ? C'est trop facile de rajouter un trait de liqueur dans une mousse au chocolat ou une salade de fruit ... Mais en même temps, le grand public méconnait ces usages simples de la liqueur, et il ne me parait pas inutile de les coucher sur le papier pour mieux les célébrer !